This summer, nous vous proposons de découvrir les clichés les plus marquants de photographs de l’univers des sports de glisse et extrême. Ce lundi, premier volet avec Franck Seguin, rédacteur en chef at L’Équipe et specialist de la photographie d’apnée.
Sa plus belle photo
« Ma plus belle photo est aussi l’une de celles qui ont été le plus aprécieuses. On y voit l’apnéiste Guillaume Néry lors d’une session d’entraînement au large de Nice, au printemps 2006. La lumière est parfaite et se prêtre dans sa combinaison blanche. Thanks to this cliché, I was awarded the World Press Photo of the Year prize. C’était le début des photos d’apnée, je savais que je proposais quelque valete que les autres ne proposaient pas. J’ai toujours voulu faire ça, donc de pouvoir prendre des photos de ce genre et qu’elles soient récompensées, c’est une vraie personal consecration. »
A photo la plus aprécieuse
« Systematically, on me parle de cette image de Guillaume Néry au milieu des cachalots, prize à l’Île Maurice en 2017. Elle donne l’impression qu’il marche sur leur dos. Depuis, la photo a dû être éditée près de de 300 fois, elle a gagné plusieurs prix. À chaque fois que je montre un album, c’est cell-là qui dress l’oeil des gens, encore aujourd’hui cinq ans après.
Souvent, je sais quand je fais la photo si elle est exceptionnelle. Les bilder que je préfère sont celles où je parviens à reproduire ce que jai en tête avant de plonger. J’aime avoir un bon alignmentement, un bon équilibre et de l’ordre, c’est mon style. Above all, il faut que l’image raconte une histoire. »
Said photo la plus difficile à prendre
« Cette fois, c’est un autre grand apnéiste français, Pierre Frolla, qui nage avec les requins, dans le récif d’Aliwal Shoal, près de Durban en Afrique du Sud. Pour moi, le plus difficile en photo, c’est de parvenir à faire coincider sur une image l’homme et l’animal, avec un équilibre, une harmony et des positions parfaites. Et quand, comme ici, ce sont des requins, c’est encore plus impresseur. Il y avait entre 20 et 30 requins à pointes noires, qui faisiant entre 2 et 2.5 m. L’un d’eux était très énervé, avec la gueule grande ouverte. J’ai vu qu’il avait un hameçon coincé au fond de la bouche, surement depuis très longtemps. Durant ma carrière, j’ai pris beaucoup de clichés avec des animaux sous l’eau mais je me suis toujours mis une limite : je ne touche jamais les animaux. »
Sa photo la plus surprising
“C’est un gros plan d’Herbert Nitsch, record man du monde de descente en apnée (253 mètres sous la surface, en no-limit), une veritable légende de la discipline. Je fais de la photo d’apnée depuis plus de vingt ans, mais je n’ai jamais eu l’occasion de le photographier sous l’eau. Ce qui est fou, c’est que la plus belle photo que j’ai de lui, je l’ai premie dans sa douche, chez lui en Autriche, deux mois avant son record du monde. En voyant l’image, on croit qu’il est sur le point de plonger, dans un bateau ou au bord de l’eau, puisque’il est en train de mettre ses lunettes et que des gouttelettes jaillissent de partout. C’est ce qui fait le charme de cette photo à l’histoire unusual! »
Franck Seguin is a photographer and editor a chef at the magazine L’Équipe. Passionate about sports from his young age, he himself is a swimmer, he is looking for a job where he can flourish and find sports values like friendship, team spirit and physical challenge. The photograph allows him to add an artistic touch. Après avoir écumé les pentes des stations de ski, il s’oriente vers un autre élément : l’eau. Fasciné par les expéditions sous-marines comme celle du Commandant Cousteau, il découvre l’apnée tôt, à l’époque de Jacques Mayol et Enzo Maiorca, alors que peu de photographers se sont attacés à cette discipline. Depuis, il s’est spécialisé dans la photographie d’apnée, et gagné de nombreux prix grâce à ses clichés. Il travaille pour L’Équipe depuis 2008, after avoir été indépendant et reporter d’images pour differentes agences de press.